Qui n’a jamais été agacé par l’ouverture intempestive d’une fenêtre publicitaire de type pop-up ? Ou encore d’encarts publicitaires présents sur une page web visitée et par trop voyante ? Pour ma part je n’ai que très peu de sympathie pour des méthodes qui, après tout, restent d’un autre temps. Un temps, le début du web, où la bannière publicitaire régnait en mettre dans le monde du digital marketing. Et si vous êtes un éditeur de site internet, un petit conseil amical, évitez d’essayer de monétiser votre audience de la sorte : il n’y a rien de tel pour la faire fuir. Visez plutôt le native advertising qui sera bien mieux accepté. Quitte à faire appel à des spécialistes de ce type de contenu comme, par exemple, digiperf.fr. Et si vous êtes annonceur, soyez certains que vos annonces auront bien plus de portée.
Le native quoi ?
Le native advertising, je suis certain que vous en avez déjà croisé dans vos pérégrinations sur la toile. Il s’agit de contenus publicitaires qui, par la taille, la forme et le design s’intègrent parfaitement au site web voire même au réseau social (on les croise régulièrement sur Facebook.) sur lequel ils se trouvent. Ce type de publicité, moins intrusive, est bien plus efficace, car elle est mieux acceptée et bien moins identifiée par les internautes. Elle est également, pour les mêmes raisons, bien moins bloquée par les ad blockers.
Un contenu publicitaire qui a de l’avenir
Ne nous y trompons pas, ce type de publicité, qui a explosé à partir de 2013 et la popularisation des ad blockers, à de très beaux jours devant lui. Et on peut le constater en vérifiant que ces encarts progressent très régulièrement, surtout en dehors des réseaux sociaux. C’est, sans aucun doute, le format publicitaire qui continuera à exister après les autres sur Internet.